TABLEAU FINAL DE L’AMOUR

Il ne fallait pas peindre la surface des choses, mais ce qu’elle cachait. Ne pas peindre l’espace, mais le temps. Ne pas peindre ton corps, mais sa mort.

Date de parution: 19 août 2021
Éditeur:
La Peuplade

Description:

Librement inspiré de la vie du peintre Francis Bacon, Tableau final de l’amour fait le récit d’une quête artistique sans compromis, viscérale, voire dangereuse. Dans une Europe traversée par deux guerres s’impose la vision d’un artiste radical dont l’œuvre entière, obsédée par le corps, résonne comme un cri.

S’adressant à l’amant qui lui a servi de modèle – ce « petit voleur inexpérimenté » qui, en pleine nuit, s’est introduit dans son atelier –, le narrateur retrace les errances de leur relation tumultueuse. Avec ce roman, rappelant l’érotisme de Bataille ou de Leiris, Larry Tremblay poursuit son œuvre de mise à nu de l’être humain.

Quelques liens:

La critique:

« Un roman troublant et jouissif, qui plonge dans le vif de la chair, où extase et douleur s’abreuvent l’un à l’autre […] porté par une plume fiévreuse, exaltée et troublante qui nous agrippe avec elle pour ne plus nous lâcher. »

-Iris Gagnon-Paradis, La Presse

« Honnêtement, depuis un bout de temps, c’est le roman le plus frappant, le plus entraînant, le plus beau – malgré sa laideur -, que j’ai lu. C’est remarquable! »

– René Homier-Roy à l’émission Culture club sur ICI Première

« C’est extrêmement troublant, [l’auteur anime] une réflexion de société qui est loin d’être terminée. »

– Marie Noëlle Blais, Région zéro 8

« J’aime bien aller dans les limites, les extrêmes. Ça me stimule, ça me provoque. La littérature est faite pour déstabiliser, pour amener l’esprit du lecteur dans des contrées audacieuses, complexes et parfois très perverses. »

-Larry Tremblay en entrevue avec Marie-Louise Arsenault à Plus on est de fous, plus on lit, R-C

« […] une quête artistique qui ne fait aucun compromis, où l’amour et la création flirtent dangereusement avec l’horreur et la cruauté. »

-Marie-France Bornais, Le Journal de Québec

« Très librement inspiré de la vie de Francis Bacon (1909-1992), ce huitième roman de Larry Tremblay raconte la relation orageuse entre le peintre d’origine dublinoise et son amant George Dyer, qui se suicide à Paris en octobre 1971, à l’aube de la prestigieuse rétrospective qui était consacrée à l’artiste au Grand Palais. Plusieurs tableaux de Bacon immortaliseront la figure triturée d’un Dyer convulsif, magnifique petit escroc, toxicomane, avec qui il partagea huit années de violence, d’excès, de jalousie et d’extase. »

– Dominic Tardif, Le Devoir

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« Éblouissant et sublime. »

– Hugues Bodart – Librairie Filigranes, Bruxelles

« C’est magnifique, sérieusement je n’arrive pas à trouver d’autre sens taillé sur mesure pour qualifier cette courte biographie romancée, aussi dangereuse soit-elle. Dangereuse parce qu’on a beau se dire que Larry Tremblay s’inspire de la vie de l’artiste, le fait parler à travers la voix de Bacon et d’arriver à trouver des mots qui transpirent ce que l’on ressent à regarder les peintures de Bacon. C’est juste, grandiose. »

– Romain “Lou Knox” – Cultura Arles